Vendredi 15 mars, Abdelilah, Fofana, Kader et Michel ont été accueillis par Juliette, Stella, Émilie, Laurent et Pierre.
Planète, 2002, Ruth Barabash (née en 1963), gouache, 170 x 228 cm,
Paris, Centre Pompidou - Musée national d’art moderne
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Ouverture des portes à 20h en présence de presque tous. Nous sommes rapidement au complet et la table est mise pour le partage d’un excellent dîner préparé par Didier (crevettes sur lit de knepfle et courgettes, un mélange que Kader désapprouve !) et par Juliette et l’aumônerie, carottes râpées maison et gâteaux au chocolat avec et sans zestes d’orange.
Nous ne sommes que 10, ce qui permet à tous de participer à la même conversation, laquelle porte sur le Brexit, Pablo Escobar et les mafias en général, les accidents d’avion mais aussi l’intérêt de Michel et Émilie pour l’aviation. On parle aussi de l’avantage de parler des langues différentes, des expériences des uns et des autres pour se faire comprendre en terre étrangère, et de la compréhension des autres dans le monde arabe et le monde africain. On aborde aussi le sujet de la manifestation des jeunes pour l’écologie (pas du tout un sujet politique dans le tiers monde selon Kader) ce qui donne l’occasion d’un échange intéressant entre Stella et Émilie, très en faveur d’une participation des collégiens à la manif, et Laurent, qui a conseillé à sa fille de ne pas manifester mais de profiter du débat sur l’écologie spécialement organisé dans son collège. Bref, des échanges variés en toute bonne humeur.
Extinction des feux à 10h30 et nuit particulièrement calme.
Lever à 7h, petit déjeuner plantureux et chaleureux. Départ de tous à 8h10 et remise des clés à Jean-Michel.
Il y a toujours beaucoup de fromages, mais il manque du jus d’oranges, du café, du lait et du Sopalin. On ne retrouve ni la planche à pain ni le couteau à pain.
À noter aussi un problème de matelas gonflables : 3 des 4 existants sont HS et il est indispensable de les remplacer dès que possible par des matelas de meilleure qualité.
Nous ne sommes que 10, ce qui permet à tous de participer à la même conversation, laquelle porte sur le Brexit, Pablo Escobar et les mafias en général, les accidents d’avion mais aussi l’intérêt de Michel et Émilie pour l’aviation. On parle aussi de l’avantage de parler des langues différentes, des expériences des uns et des autres pour se faire comprendre en terre étrangère, et de la compréhension des autres dans le monde arabe et le monde africain. On aborde aussi le sujet de la manifestation des jeunes pour l’écologie (pas du tout un sujet politique dans le tiers monde selon Kader) ce qui donne l’occasion d’un échange intéressant entre Stella et Émilie, très en faveur d’une participation des collégiens à la manif, et Laurent, qui a conseillé à sa fille de ne pas manifester mais de profiter du débat sur l’écologie spécialement organisé dans son collège. Bref, des échanges variés en toute bonne humeur.
Extinction des feux à 10h30 et nuit particulièrement calme.
Lever à 7h, petit déjeuner plantureux et chaleureux. Départ de tous à 8h10 et remise des clés à Jean-Michel.
Il y a toujours beaucoup de fromages, mais il manque du jus d’oranges, du café, du lait et du Sopalin. On ne retrouve ni la planche à pain ni le couteau à pain.
À noter aussi un problème de matelas gonflables : 3 des 4 existants sont HS et il est indispensable de les remplacer dès que possible par des matelas de meilleure qualité.