Samedi 24 février, Sabine, Benoît, Alexandre et Baudoin ont accompagné Alain, Moussa, Soro, Soulymane et Umberto.
Portrait de l’architecte Jacques-Ignace Hittorff, 1829, J-A D. Ingres (1780-1867),
Paris, musée du Louvre
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«Arrivé quelques minutes avant 20 heures, Umberto et Moussa attendait devant la grille.
C’est la première fois que je voyais l’un et l’autre, et il faut dire qu’il y avait un sacré contraste entre le sourire rayonnant d’Umberto et le désespoir visible sur le visage de Moussa.
Les mouvements de va-et-vient habituels se sont enchaînés jusqu’à 20 h 30, le temps que tout le monde arrive, de dresser la table et de préparer le dîner.
Le dîner comme à chaque fois délicieux, a été l’occasion de partager un bon moment. Mis à part Moussa qui était fatigué et avait un petit moral, tout le monde était en forme, notamment Alain qui n’a pas la langue dans sa poche.
Nous avons parlé de l’architecte de Saint Vincent de Paul, de littérature et de religion: vaste programme...
Après le dîner, Benoît et Umberto nous ont fait un bœuf, et il faut dire que les talents musicaux d’Umberto sont extraordinaires (désolé Benoît ;-)). Dernière clope, brossage de dents, et discussions. Alain et Soro ont discuté notamment de la vague de froid qui arrive. Soro la redoute car il n’a jamais vécu ça.
Le lendemain, Moussa a allumé la lumière avant l’heure ce qui a crée un peu de mécontentement. Alain était beaucoup moins bavard que la veille.
Il n’y a plus de sacs poubelle ni de fruits.»
C’est la première fois que je voyais l’un et l’autre, et il faut dire qu’il y avait un sacré contraste entre le sourire rayonnant d’Umberto et le désespoir visible sur le visage de Moussa.
Les mouvements de va-et-vient habituels se sont enchaînés jusqu’à 20 h 30, le temps que tout le monde arrive, de dresser la table et de préparer le dîner.
Le dîner comme à chaque fois délicieux, a été l’occasion de partager un bon moment. Mis à part Moussa qui était fatigué et avait un petit moral, tout le monde était en forme, notamment Alain qui n’a pas la langue dans sa poche.
Nous avons parlé de l’architecte de Saint Vincent de Paul, de littérature et de religion: vaste programme...
Après le dîner, Benoît et Umberto nous ont fait un bœuf, et il faut dire que les talents musicaux d’Umberto sont extraordinaires (désolé Benoît ;-)). Dernière clope, brossage de dents, et discussions. Alain et Soro ont discuté notamment de la vague de froid qui arrive. Soro la redoute car il n’a jamais vécu ça.
Le lendemain, Moussa a allumé la lumière avant l’heure ce qui a crée un peu de mécontentement. Alain était beaucoup moins bavard que la veille.
Il n’y a plus de sacs poubelle ni de fruits.»