Lundi 12 février, Diane, Ingrid, Pascal et Stanislas ont accompagné Moussa, Soro et Soulymane.
Abondance, 1961, Paul Liégeois (milieu du XVIIe siècle),
huile sur toile, 91 x 65,5 cm,
Chambéry, musée des Beaux-Arts
|
Toutefois, il y avait peu d’invités car seulement Soro Soulymane et Moussa, pas d’Olivier et Nouri a préféré rester avec ses amis, soirée plus arrosée que la notre j’imagine sans peine. Mais l’entente entre eux parait assez bonne.
Moussa semble toujours assez fatigué le soir, il faudrait observer qu’il ne s’agisse pas d’un coup de déprime, le fait de ne pas parler le français l’isole beaucoup et doit rendre son intégration très difficile. Il est indispensable qu’il apprenne le français
Pour la logistique, il vaux mieux éviter de faire des proportions trop importantes car cela fait des restes qui d’après ce que l’on peux noter ne sont pas utilisés d’un jour à l’autre. Ils n’ont pas un grand appétit même si les repas sont encore une fois vraiment très bons.»