Mercredi 14 février, Brigitte, Galdric, Jean-Éric et Frédéric ont accompagné Moussa, Soro et Soulymane et Umberto.
Autour du piano, 1885, Henri Fantin-Latour (1836-1904), huile sur toile, 222 x 160 cm, Paris, musée d’Orsay |
« Umberto, Souleymane, Moussa et son ami Jonas sont présents à 20 heures. Jean-Éric et Frédéric expliquent alors à Moussa qu’il ne peut pas inviter ses amis avant d’inviter Jonas à contacter les Captifs pour tenter de rejoindre Hiver Solidaire. Un vrai moment difficile que de lui demander de nous quitter et de l’accompagner jusqu’à la rue. Soro nous rejoint quelques minutes plus tard. Ni Nouri ni Omar ne se présenteront.
Le repas concocté par Brigitte et Galdric régale tout le monde. Umberto ne mange que la soupe au prétexte qu’il a déjà dîner. Le reste des convives se délecte du poulet au curry accompagné de riz parfumé puis du fromage et des fruits.
Dîner (trop ?) calme. Umberto s’exprime peu malgré nos tentatives d’échanges. Moussa, toujours en difficulté avec le français, reste en retrait. Soro nous indique qu’il a vu Nouri dans la journée et qu’il s’inquiète pour lui car il était très alcoolisé et blessé au visage. Souleymane est quant à lui plus passionné par les retransmissions de football, qu’il suit sur son téléphone, que par nos échanges. Nous apprenons par Soro, très admiratif, qu’Umberto joue souvent du piano aux Captifs.
Vaisselle rapidement effectuée. Couché prématuré des accueillis et Extinction des feux avant 23 heures.
Réveil à 7 heures après une bonne nuit de sommeil. Petit déjeuner autour de la revue de presse « football» de Souleymane et des commentaires d’Umberto sur l’hospitalité française qui lui semble se dégrader.
Nettoyage, rangement et remise des clefs à Jean-Michel. Tout le monde se quitte à 8 heures.
Point d’attention : louche manquante (à remplacer).»
Le repas concocté par Brigitte et Galdric régale tout le monde. Umberto ne mange que la soupe au prétexte qu’il a déjà dîner. Le reste des convives se délecte du poulet au curry accompagné de riz parfumé puis du fromage et des fruits.
Dîner (trop ?) calme. Umberto s’exprime peu malgré nos tentatives d’échanges. Moussa, toujours en difficulté avec le français, reste en retrait. Soro nous indique qu’il a vu Nouri dans la journée et qu’il s’inquiète pour lui car il était très alcoolisé et blessé au visage. Souleymane est quant à lui plus passionné par les retransmissions de football, qu’il suit sur son téléphone, que par nos échanges. Nous apprenons par Soro, très admiratif, qu’Umberto joue souvent du piano aux Captifs.
Vaisselle rapidement effectuée. Couché prématuré des accueillis et Extinction des feux avant 23 heures.
Réveil à 7 heures après une bonne nuit de sommeil. Petit déjeuner autour de la revue de presse « football» de Souleymane et des commentaires d’Umberto sur l’hospitalité française qui lui semble se dégrader.
Nettoyage, rangement et remise des clefs à Jean-Michel. Tout le monde se quitte à 8 heures.
Point d’attention : louche manquante (à remplacer).»