Mardi 6 mars, Anne-Laure, Laurence, Charles et Grégoire ont accompagné Alain, Moussa, Soro, Soulymane et Umberto.
Football, 1918, Robert Delaunay (1885-1941),
aquarelle sur carton , 61 x 48,5 cm,
Paris, Centre Pompidou - Musée national d’art moderne
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«Dîner : soupe menthe / courgettes relevée, poulet tandori / lentilles, fromage blanc / sec, glaces Haagen Dazs
Arrivées en ordre très dispersé. À partir de 20 h 10, Umberto puis Soro. Nous essayons de joindre Alain qui finit par répondre et nous rejoint, en même temps que Soulymane, vers 20 h 40, alors que nous avions débuté la soupe - par ailleurs délicieuse.
Nous récupérerons Moussa seulement au départ d’Anne-Laure. Nous craignions qu’il ait eu un problème.
Nous récupérerons Moussa seulement au départ d’Anne-Laure. Nous craignions qu’il ait eu un problème.
En fait non, il était avec un « copain ».
Le match Paris – Madrid que Soulymane suit pour la communauté aimante une large partie de la conversation, qui roule aussi sur les voyages, la neige sur Paris, l’automobile, le camping à l’école, … Anne-Laure discute un peu avec Umberto en espagnol.
Soro a gagné en assurance. Umberto se montre réservé et très serviable. Alain est quant à lui fort disert et a effectivement un avis autorisé sur de nombreux sujets. Après 10 ans dans le bâtiment, il souhaite se lancer dans la finance. Il s’est formé pour ce faire (certification AMF).
Le dîner est très apprécié, l’ambiance agréable, nullement plombée par la défaite du PSG. La vaisselle est promptement exécutée. Laurence nous quitte vers 22 h 30, précédant Anne-Laure qui partage une tisane avec nous.
Extinction des feux vers 23 h.
Lever 7 h. On refait le match pendant le petit-déjeuner. Un rappel est fait aux accueillis sur la nécessité de respecter l’horaire d’arrivée. Soulymane prévient toutefois qu’il ne pourra être là ce soir avant 20 h 15 en raison d’un rendez-vous. Départ à 8 h 10.
À noter la présence devant chez Casimir d’un dénommé Abdel avec lequel nous avons eu des échanges, cordiaux, à plusieurs reprises lors de la soirée (vers 20 h lorsque nous attendions les accueillis et plus tard lorsque nous remontions vérifier si les retardataires arrivaient). Il était encore là ce matin. On sent un peu d’aigreur à l’égard des accueillis.
Il reste du fromage. Manquent sacs poubelle et assiettes en carton.»